

































︎ Centre Pompidou, Metz, 1
︎ Cité Radieuse, Marseille, 2
︎ Centre Pompidou, Metz, 1
︎ Cité Radieuse, Marseille, 2
︎ Cité Radieuse, Marseille, 2











︎ Cité Radieuse, Marseille, 2
︎ Stade Vélodrome, Marseille, 3




︎ Fondation Louis Vuitton, Paris 16ème, 4
︎ Chateau de Rentilly, Rentilly, 5
︎ Gare Centrale, Lisbonne, Portugal, 6
︎ Ecole Nationale Supérieur d’Architecture, Paris, 7








︎ Détails & états des lieux, Loft Paris, ︎
︎ Appartement , Biarritz, ︎















︎ Centre National de la Danse, Pantin, 11
︎ Dalle Beaugrenelle, Paris, 12
︎ Nucleo Arqueologico, Chateau de Sao Jorge, Lisbonne, Portugal, 13




︎ Siège du PCF, Colonel Fabien, Paris, 14



















Wales - 2019
La Centrale hydroélectrique de Dinorwig, appelée également Electric Mountain, est dissimulée dans la montagne, en souterrain, sur
le site d’une ancienne carrière d’ardoise afin de préserver la beauté
du parc national de Snowdonia.
Les sols du Pays de Galles ont été exploités pour leur richesse,
pendant plus d’un siècle. Les paysages sont désormais préservés et
mis en avant pour leur exceptionnel beauté. Dans les années 1960, le
gouvernement désigne trois parcs nationaux et cinq zones particulières occupant 20% de son territoire.
Le Pays de Galles produit désormais 50% de son énergie grâce aux
barrages hydro-électriques, aux éoliennes; passant ainsi d’un “paysage exploité à un territoire ressource”.
Blocus - 2013
Les structures métalliques ou en bois ont une fonction hésitante - entre fragiles maintiens et possible début d’une restauration -
La trame des échafaudages recouvrent parfois totalement les bâtiments qu’elle supporte et en devient une architecture. Cette trame se retrouve également dans les constructions grillagées des propriétaires de Lada ou autres reliques automobiles. Ces installations sont de véritable extensions aux habitations. L’ensemble dresse un portrait subjectif des stigmates d’une ville, d’un pays retenu, bloqué.
La Havane, Cuba




























La visite, La Martelette - 2013-2016
La Martelette est un ensemble de 21 photographies et d’un texte, destiné à l’édition d’un ouvrage. Le projet soutenu par la Drac Languedoc Roussillon et réalisé en collaboration avec l’artiste Camille Olivier a été exposé à Avignon dans le cadre du parcours de l’Art en octobre 2016.
“ Avignon, chemin de la croix de Noves. Au centre d’une zone commerciale de la banlieue Sud Avignonnaise une maison se dresse. A peine protégée par une longue haie de cyprès qui borde son terrain, le petit manoir solitaire nous renvoie l’image d’un époque lointaine. Elle se nomme la Martelette. C’est le nom donné à un petit marteau couplé avec un pic ou une pioche, qui permet de travailler la terre. Ce nom révèle le passé agricole des terres sur lesquelles elle est construite”.
Cette série explore les projections et tentatives de construction d’un idéal de bonheur familial. Déambulant à travers les pièces de cette maison de famille, les images s’attardent sur l’agencement intérieur du foyer. Il en émane un fort potentiel dramatique dont nous sommes libre d’interprétation.
Le Temps Fleuve - 2012 ; à jamais
“Me voici donc immobilisé dans cette sorte d’éternel présent qui est celui du spectateur, immobilisé devant le fleuve mobile. Je ne bouge, ni n’agis, ni non plus ne vois tout ce qui est déjà passé ( et ce serait savoir ) car le fait même que le fleuve continue à passer m’oblige à ne clore aucunement ce passé et me force à anticiper l’avenir. Mais comment, le futur n’étant qu’ignorance, quand il est futur du spectateur et non de l’acteur qui fait ce futur, comment puis-je conclure autre chose que ceci : cela va continuer éternellement.”
Francis Ponge, La Seine








































La montée des usines - 2014
États
des lieux d’une rue appelée “La montée des Usines” dans le
quartier de l’Estaque à Marseille.
Cette montée ne dessert
désormais plus d’usines. Des habitations ouvrières perchées
demeurent en vie. Le cadre est magnifique, entre la mer et la roche,
on a du mal à croire que le ré-aménagement de ces friches tarde
autant. L’Estaque a été peint par Cézanne et Braque entre la fin du XIXème
et début XXème alors que la zone avait été métarmorphosée en site industiel. Quelques années plus tard, elle tomba en
désuétude. L’histoire semble se répéter dans ce quartier de
Marseille.
Cette
série d’images capte la lumière méditerranéenne. Les
grillages, hauts murs et restes de construction nous projettent vers
un ailleurs, une possible zone de conflit. Ici pourtant il n’y a pas
eu de guerre, plutôt des ajustements industriels. Ce travail
appelle une suite, un suvi des futures métarmophoses de ces
paysages.









